La rentrée associative et les nouvelles mesures sanitaires

Depuis bientôt deux ans, nous avons tous appris à vivre avec l’épidémie de covid-19. Au gré des évolutions de la situation sanitaire, et des mesures gouvernementales qui les accompagnaient, nous avons dû nous adapter. Que ce soit pour maintenir le lien indispensable avec nos adhérents ou assurer le fonctionnement statutaire de nos associations, nous avons su le plus souvent trouver des solutions. 

A l’automne dernier encore, nous avons intégré l’application nouvelle du pass sanitaire à nos activités et rassemblements, qui n’étaient toutefois plus soumis aux jauges que nous avions connues précédemment. Mais nos activités ont pu reprendre, de l’atelier informatique aux voyages, en passant par la danse et les jeux de société. 

En ce début d’année, et au moins jusqu’au 24 janvier, de nouvelles règles sont imposées par les Autorités pour endiguer la prolifération du variant omicron. Si les gestes barrières, dont le port du masque, le lavage des mains systématique et l’aération des lieux restent de mise, tout comme le contrôle du pass sanitaire, de nouvelles restrictions apparaissent. 
Elles concernent principalement l’interdiction de consommer de la nourriture ou des boissons dans les lieux recevant du public (hors restaurants ou bars), dont les salles polyvalentes, et l’interdiction des activités de danse (que ce soit une activité d’initiation ou un bal).  Toujours jusqu’au 24 janvier au moins, les réunions statutaires (AG, CA) qui ne peuvent être reportées sont à privilégier en distanciel.  
Enfin, le Parlement a adopté ce matin même en première lecture, la proposition du Gouvernement de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal. Cette mesure devrait rentrer en vigueur le 15 janvier.

Retrouvez l’ensemble des mesures applicables aux associations depuis le 3 janvier et jusqu’au 24 janvier au moins en cliquant sur le lien ci-contre.

Cette publication a un commentaire

  1. Docteur Jamot

    il serait souhaitable de faire savoir qu’à chaque variant c’est une nouvelle épidémie qui recommence d’où la nécessité de donner des consignes qui varient tres rapidement , et qui provoquent dans la population une incompréhension , une lassitude et un oubli progressif des bonnes pratiques. Le rôle du monde de la santé dans les médias est ,de plus, délétère car les assertions des uns et des autres varient et se contredisent souvent. Il est bon de savoir que ces intervenants dans les médias (professeurs ou docteurs) sont pour la plupart des scientifiques et non des médecins cliniciens. Leur rôle et leur travail en laboratoire est fondamental mais leur connaissance des patients ne leur donne aucune légitimité pour dispenser des “conseils”

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